Chaton

Mon premier livre publié, uniquement disponible en format Ebook

Résumé :

Dans une France occupée par la Russie, Aline, une orpheline de 17 ans, se bat pour sa liberté. Fuyant l’emprise de sa famille adoptive, elle trouve refuge auprès de Sergueï Ivanovitch, un homme de main de la mafia russe. Mais Aline, loin d’être le chaton abandonné que Sergueï croit recueillir, nourrit des ambitions qui menacent de la déshumaniser.

À travers des personnages façonnés par leurs souffrances et leurs contradictions, le roman interroge la possibilité de la rédemption. Il explore la violence, la haine, le besoin de survie – mais aussi la quête de sens, la tentation, et l’éclat fragile de l’espoir. Une réflexion portée par une plume tendue entre lyrisme et cruauté.

Sous l'influence de Dostoïevski et les élans de la littérature française, Chaton est un roman à la croisée des influences : la morbidité poétique héritée de la Russie, l’amour exalté et les tiraillements intérieurs chers aux auteurs français, et la recherche de liberté qui traverse la littérature américaine.

Entre violence et rédemption, ce roman plonge le lecteur dans un univers sombre, où les frontières entre le bien et le mal se confondent.

LIRE LE LIVRE :

Pourquoi ?

Ce livre n’a qu’un seul but : raconter le passé d’Aline, un personnage qui prendra une place centrale dans ma prochaine œuvre. Il ne poursuit aucun autre objectif que celui de lui offrir une histoire, une mémoire. Écrit d’abord en un mois, puis retravaillé pendant six, il est aujourd’hui disponible en version numérique. Mais ce récit ne représente qu’une fraction minime de ce que je souhaite transmettre, et à peine un éclat du potentiel de mon imaginaire.

À titre de comparaison, Holocauste, le livre suivant, mûrit depuis cinq ans. L’ampleur du travail, la profondeur de son propos et la puissance que j’espère lui donner en font une œuvre d’une tout autre envergure.

Public ?

J’ai volontairement utilisé un vocabulaire simple et un style accessible. Cette histoire s’adresse en priorité aux jeunes femmes, aux adolescentes, aux garçons rejetés par la société, ou encore à ceux et celles qui ont souffert du harcèlement et de maltraitance infantile. Les dilemmes abordés résonneront sans doute avec celles et ceux qui cherchent à comprendre leur douleur ou à s’en libérer. Le ton, bien que parfois lourd, reste volontairement épuré. Ce choix rend le récit lisible même pour les lecteurs débutants.

À l’inverse, Holocauste, mon prochain projet, s’annonce d’une tout autre densité : plus complexe, plus exigeant, et probablement difficile d’accès sans un dictionnaire à portée de main.

LIRE LE LIVRE :

Résumé :

Dans une France occupée par la Russie, Aline, une orpheline de 17 ans, se bat pour sa liberté. Fuyant l’emprise de sa famille adoptive, elle trouve refuge auprès de Sergueï Ivanovitch, un homme de main de la mafia russe. Mais Aline, loin d’être le chaton abandonné que Sergueï croit recueillir, nourrit des ambitions qui menacent de la déshumaniser.

À travers des personnages façonnés par leurs souffrances et leurs contradictions, le roman interroge la possibilité de la rédemption. Il explore la violence, la haine, le besoin de survie – mais aussi la quête de sens, la tentation, et l’éclat fragile de l’espoir. Une réflexion portée par une plume tendue entre lyrisme et cruauté.

Sous l'influence de Dostoïevski et les élans de la littérature française, Chaton est un roman à la croisée des influences : la morbidité poétique héritée de la Russie, l’amour exalté et les tiraillements intérieurs chers aux auteurs français, et la recherche de liberté qui traverse la littérature américaine.

Entre violence et rédemption, ce roman plonge le lecteur dans un univers sombre, où les frontières entre le bien et le mal se confondent.

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Pourquoi ?

Ce livre n’a qu’un seul but : raconter le passé d’Aline, un personnage qui prendra une place centrale dans ma prochaine œuvre. Il ne poursuit aucun autre objectif que celui de lui offrir une histoire, une mémoire. Écrit d’abord en un mois, puis retravaillé pendant six, il est aujourd’hui disponible en version numérique. Mais ce récit ne représente qu’une fraction minime de ce que je souhaite transmettre, et à peine un éclat du potentiel de mon imaginaire.

À titre de comparaison, Holocauste, le livre suivant, mûrit depuis cinq ans. L’ampleur du travail, la profondeur de son propos et la puissance que j’espère lui donner en font une œuvre d’une tout autre envergure.

Public ?

J’ai volontairement utilisé un vocabulaire simple et un style accessible. Cette histoire s’adresse en priorité aux jeunes femmes, aux adolescentes, aux garçons rejetés par la société, ou encore à ceux et celles qui ont souffert du harcèlement et de maltraitance infantile. Les dilemmes abordés résonneront sans doute avec celles et ceux qui cherchent à comprendre leur douleur ou à s’en libérer. Le ton, bien que parfois lourd, reste volontairement épuré. Ce choix rend le récit lisible même pour les lecteurs débutants.

À l’inverse, Holocauste, mon prochain projet, s’annonce d’une tout autre densité : plus complexe, plus exigeant, et probablement difficile d’accès sans un dictionnaire à portée de main.

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Résumé :

Dans une France occupée par la Russie, Aline, une orpheline de 17 ans, se bat pour sa liberté. Fuyant l’emprise de sa famille adoptive, elle trouve refuge auprès de Sergueï Ivanovitch, un homme de main de la mafia russe. Mais Aline, loin d’être le chaton abandonné que Sergueï croit recueillir, nourrit des ambitions qui menacent de la déshumaniser.

À travers des personnages façonnés par leurs souffrances et leurs contradictions, le roman interroge la possibilité de la rédemption. Il explore la violence, la haine, le besoin de survie – mais aussi la quête de sens, la tentation, et l’éclat fragile de l’espoir. Une réflexion portée par une plume tendue entre lyrisme et cruauté.

Sous l'influence de Dostoïevski et les élans de la littérature française, Chaton est un roman à la croisée des influences : la morbidité poétique héritée de la Russie, l’amour exalté et les tiraillements intérieurs chers aux auteurs français, et la recherche de liberté qui traverse la littérature américaine.

Entre violence et rédemption, ce roman plonge le lecteur dans un univers sombre, où les frontières entre le bien et le mal se confondent.

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Pourquoi ?

Ce livre n’a qu’un seul but : raconter le passé d’Aline, un personnage qui prendra une place centrale dans ma prochaine œuvre. Il ne poursuit aucun autre objectif que celui de lui offrir une histoire, une mémoire. Écrit d’abord en un mois, puis retravaillé pendant six, il est aujourd’hui disponible en version numérique. Mais ce récit ne représente qu’une fraction minime de ce que je souhaite transmettre, et à peine un éclat du potentiel de mon imaginaire.

À titre de comparaison, Holocauste, le livre suivant, mûrit depuis cinq ans. L’ampleur du travail, la profondeur de son propos et la puissance que j’espère lui donner en font une œuvre d’une tout autre envergure.

Public ?

J’ai volontairement utilisé un vocabulaire simple et un style accessible. Cette histoire s’adresse en priorité aux jeunes femmes, aux adolescentes, aux garçons rejetés par la société, ou encore à ceux et celles qui ont souffert du harcèlement et de maltraitance infantile. Les dilemmes abordés résonneront sans doute avec celles et ceux qui cherchent à comprendre leur douleur ou à s’en libérer. Le ton, bien que parfois lourd, reste volontairement épuré. Ce choix rend le récit lisible même pour les lecteurs débutants.

À l’inverse, Holocauste, mon prochain projet, s’annonce d’une tout autre densité : plus complexe, plus exigeant, et probablement difficile d’accès sans un dictionnaire à portée de main.

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